L’exode rural et l’inflation urbaine provoquaient un déracinement spirituel propice à l’emprise des idéologies mortifères. Mais, par la manifestation de la Toute-Sainte, le Très-Haut marquait sa préférence pour le peuple des humbles et des anonymes. Il exaltait la science infuse mais sûre des simples. Il réconciliait l’âme et le corps. Il s’adressait aux femmes et aux enfants alors négligés ou exploités.
Il affirmait la gloire du pauvre qui, sans illusion sur le monde et sur lui-même, est en attente de l’inouï. Puisque, comme le disait Blaise Pascal, si représentatif du génie français, le christianisme consiste d’abord dans « les Écritures, les sacrements, les miracles ».
Au retour de cette assemblée, notre évêque Mgr Fonlupt, revient sur ce qu’il s’y est vécu.
